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Triptyque émancipation des mots

Triptyque émancipation des mots

(Code: A112800013)

Trois pièces a cappella en parlé-rythmé de Mirtha Pozzi, sur trois poèmes de Benjamin Péret.
Les trois poèmes de ce triptyque, nous plongent dans l'univers de Benjamin Péret, poète qui joue avec les mots en brouillant toutes les définitions. Lui-même nous dit : « Aussitôt satisfait le besoin primordial auquel il correspond, le langage devient poésie ».
Le choix de composer à partir de poèmes de Benjamin Péret s’est fait tout naturellement, provoqué sans doute par l’attirance que provoquent chez Mirtha Pozzi l’humour et la liberté d’écriture des poètes surréalistes.
Ce triptyque est composé à partir de : « Hymne », « Bâbord pour tous » et « Homme de quart homme de demi ». Ces deux derniers poèmes font partie de « Le Passager du Transatlantique », oeuvre de jeunesse de l’écrivain qui rêvait alors de voyager en contemplant les gros bateaux qui partaient pour l'Amérique depuis le port de Saint- Nazaire. Plus tard, il réalisera des voyages au Brésil (où il explorera les rituels de la macumba et du candomblé) et au Mexique (où il entreprendra une anthologie sur la mythologie et les légendes précolombiennes).
Pour les compositions en parlé-rythmé, comment échapper à Benjamin Péret, « Le prince des surréalistes », le plus fidèle ami d’André Breton ? Il a créé une forme poétique nouvelle, pervertissant systématiquement l’emploi conventionnel de la langue et utilisant les « associations libres », découvertes grâce à « l’écriture automatique », principal moteur de la création littéraire surréaliste.
Dans la pièce « En ce temps-là… », de Mirtha Pozzi, on trouve déjà une résonance de Benjamin Péret : dans cette pièce, elle met en musique le poème « Les Couleurs » d’Eduardo Galeano, inspirée d'un récit de Benjamin Péret qui, lui-même, avait écrit à partir d’un mythe des indiens du Mato-Grosso brésilien…
Dans « PONC-TUATIONS », elle s’inspire d’un poème de Philippe Soupault, poète surréaliste, grand admirateur de Benjamin Péret.
L’interprétation de ces trois pièces, dans un même programme : « En ce temps-là… », « PONC- TUATIONS » et le « Triptyque Émancipation des mots » mettrait en lumière une forme de cohérence littéraire dans les sources d’inspiration de Mirtha Pozzi.

Il est possible de n‘interpréter qu'un ou deux volets du triptyque, en indiquant qu'ils font partie du « Triptyque Émancipation des mots » sur trois poèmes de Benjamin Péret.
« Hymne » extrait de « Autres Poèmes/Trois Poèmes-Gages du tome 2 des Œuvres Complètes de Benjamin Péret, éditions Corti. Bâbord pour tous » et « Homme de quart homme de demi, extraits de « Le Passager du Transatlantique » (1921), tome 1 des Œuvres Complètes de Benjamin Péret, éditions Corti.

Remerciements à Mr Bertrand Fillaudeau des éditions Corti, à Gérard Roche de l’Association des amis de Benjamin Péret et à Géraldine Toutain, musicienne.

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Trois pièces a cappella en parlé-rythmé de Mirtha Pozzi, sur trois poèmes de Benjamin Péret.
Les trois poèmes de ce triptyque, nous plongent dans l'univers de Benjamin Péret, poète qui joue avec les mots en brouillant toutes les définitions. Lui-même nous dit : « Aussitôt satisfait le besoin primordial auquel il correspond, le langage devient poésie ».
Le choix de composer à partir de poèmes de Benjamin Péret s’est fait tout naturellement, provoqué sans doute par l’attirance que provoquent chez Mirtha Pozzi l’humour et la liberté d’écriture des poètes surréalistes.
Ce triptyque est composé à partir de : « Hymne », « Bâbord pour tous » et « Homme de quart homme de demi ». Ces deux derniers poèmes font partie de « Le Passager du Transatlantique », oeuvre de jeunesse de l’écrivain qui rêvait alors de voyager en contemplant les gros bateaux qui partaient pour l'Amérique depuis le port de Saint- Nazaire. Plus tard, il réalisera des voyages au Brésil (où il explorera les rituels de la macumba et du candomblé) et au Mexique (où il entreprendra une anthologie sur la mythologie et les légendes précolombiennes).
Pour les compositions en parlé-rythmé, comment échapper à Benjamin Péret, « Le prince des surréalistes », le plus fidèle ami d’André Breton ? Il a créé une forme poétique nouvelle, pervertissant systématiquement l’emploi conventionnel de la langue et utilisant les « associations libres », découvertes grâce à « l’écriture automatique », principal moteur de la création littéraire surréaliste.
Dans la pièce « En ce temps-là… », de Mirtha Pozzi, on trouve déjà une résonance de Benjamin Péret : dans cette pièce, elle met en musique le poème « Les Couleurs » d’Eduardo Galeano, inspirée d'un récit de Benjamin Péret qui, lui-même, avait écrit à partir d’un mythe des indiens du Mato-Grosso brésilien…
Dans « PONC-TUATIONS », elle s’inspire d’un poème de Philippe Soupault, poète surréaliste, grand admirateur de Benjamin Péret.
L’interprétation de ces trois pièces, dans un même programme : « En ce temps-là… », « PONC- TUATIONS » et le « Triptyque Émancipation des mots » mettrait en lumière une forme de cohérence littéraire dans les sources d’inspiration de Mirtha Pozzi.

Il est possible de n‘interpréter qu'un ou deux volets du triptyque, en indiquant qu'ils font partie du « Triptyque Émancipation des mots » sur trois poèmes de Benjamin Péret.
« Hymne » extrait de « Autres Poèmes/Trois Poèmes-Gages du tome 2 des Œuvres Complètes de Benjamin Péret, éditions Corti. Bâbord pour tous » et « Homme de quart homme de demi, extraits de « Le Passager du Transatlantique » (1921), tome 1 des Œuvres Complètes de Benjamin Péret, éditions Corti.

Remerciements à Mr Bertrand Fillaudeau des éditions Corti, à Gérard Roche de l’Association des amis de Benjamin Péret et à Géraldine Toutain, musicienne.


Sommaire / Contents :
- Hymne (3 voix / 3 voices)
- Bâbord pour tous (2 voix + frappements de mains / 2 voices + hand claps)
- Homme de quart homme de demi (2 voix / 2 voices)

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