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Les spécialistes du chant choral
Réveillez-vous, jeunes dames

Réveillez-vous, jeunes dames

(Code: A110906038)

Avec des tessitures aisées dans un ambitus confortable, avec des phrases mélodiques souvent répétées à l’intérieur d’une même voix ou échangées entre Superius et Tenor, Réveillez-vous, jeunes dames devrait, par sa facilité d’apprentissage, faire le bonheur des chorales désirant chanter de manière alerte une chanson réjouissante de la Renaissance. Pour entretenir ce “soulas (plaisir) et joye”, l’écriture musicale multiplie la diversité des combinaisons contrapuntiques. Les voix fonctionnent deux à deux (ms 21- 27), trois contre une (ms 1-12), parfois ensemble (ms 31-35) ou en imitations (ms 35-40) dans un souci constant d’entretenir la fraîcheur du propos poétique. Pièce anonyme à quatre voix, typique des productions musicales de Pierre Attaingnant à destination des couches de la bourgeoisie désirant se divertir musicalement, elle répond à ce nouveau besoin d’une pratique amateur dont le succès a canonifié le genre : la chanson parisienne. Ne pas oublier d’en restituer la prononciation colorée de “joye, voye” (oué) et les accents sur les diphtongues.

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Avec des tessitures aisées dans un ambitus confortable, avec des phrases mélodiques souvent répétées à l’intérieur d’une même voix ou échangées entre Superius et Tenor, Réveillez-vous, jeunes dames devrait, par sa facilité d’apprentissage, faire le bonheur des chorales désirant chanter de manière alerte une chanson réjouissante de la Renaissance. Pour entretenir ce “soulas (plaisir) et joye”, l’écriture musicale multiplie la diversité des combinaisons contrapuntiques. Les voix fonctionnent deux à deux (ms 21- 27), trois contre une (ms 1-12), parfois ensemble (ms 31-35) ou en imitations (ms 35-40) dans un souci constant d’entretenir la fraîcheur du propos poétique. Pièce anonyme à quatre voix, typique des productions musicales de Pierre Attaingnant à destination des couches de la bourgeoisie désirant se divertir musicalement, elle répond à ce nouveau besoin d’une pratique amateur dont le succès a canonifié le genre : la chanson parisienne. Ne pas oublier d’en restituer la prononciation colorée de “joye, voye” (oué) et les accents sur les diphtongues.