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Les spécialistes du chant choral
Nous n'irons plus au bois

Nous n'irons plus au bois

(Code: A111309167)
Chanson traditionnelle harmonisée. Cette fameuse chanson d’enfance a, tant pour les paroles que pour la mélodie, plusieurs variantes. En effet, une tradition le ferait remonter au temps de Saint-Louis et le sens caché du texte, au-delà de son innocence et de sa gentillesse, pourrait en fait être relatif à l’interdiction des maisons de plaisirs durant une partie du règne du bon roi Louis, ces établissements arborant alors une branche d’églantier au-dessus de leur porte.Autre explication, d’après Claude Gagnière, (Pour tout l’or des mots, coll. Bouquins aux Ed. R. Laffont) : la musique aurait été tirée des premières notes du Kyrie de la messe des anges (De Angelis). Quant aux paroles, on les attribuerait à la belle Jeanne-Antoinette, épouse du fermier général Le Normant d’Etiolles, qui se refusait à tromper son gros benêt de mari afin de mieux se réserver pour le roi. C’est elle qui, de 1745 à 1751, régna comme maîtresse en titre sur le coeur de Louis XV le Bien-Aimé, lequel inventa pour elle le titre de marquise de Pompadour.L’arrangement réalisé ici est composé d’une première partie sur un ostinato (pouvant être joué par des flûtes à bec alto), suivi par un passage à quatre voix, chantant une variation en close harmony, puis par la reprise de la partie avec ostinato et un couplet final qui exploite la mélodie sous forme de canon. Les petites surprises que comporte cet arrangement sont un moyen de faire (re)découvrir cette chanson traditionnelle : à chaque couplet, on faisait entrer dans la ronde un enfant. Cette oeuvre a obtenu le 3ème prix au Concours d'harmonisation (catégorie "Harmonisation de chanson a cappella pour voix égales") organisé par le mouvement A Coeur Joie en partenariat avec le ministère de la Culture et de la Communication en 2003.
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Chanson traditionnelle harmonisée. Cette fameuse chanson d’enfance a, tant pour les paroles que pour la mélodie, plusieurs variantes. En effet, une tradition le ferait remonter au temps de Saint-Louis et le sens caché du texte, au-delà de son innocence et de sa gentillesse, pourrait en fait être relatif à l’interdiction des maisons de plaisirs durant une partie du règne du bon roi Louis, ces établissements arborant alors une branche d’églantier au-dessus de leur porte.Autre explication, d’après Claude Gagnière, (Pour tout l’or des mots, coll. Bouquins aux Ed. R. Laffont) : la musique aurait été tirée des premières notes du Kyrie de la messe des anges (De Angelis). Quant aux paroles, on les attribuerait à la belle Jeanne-Antoinette, épouse du fermier général Le Normant d’Etiolles, qui se refusait à tromper son gros benêt de mari afin de mieux se réserver pour le roi. C’est elle qui, de 1745 à 1751, régna comme maîtresse en titre sur le coeur de Louis XV le Bien-Aimé, lequel inventa pour elle le titre de marquise de Pompadour.L’arrangement réalisé ici est composé d’une première partie sur un ostinato (pouvant être joué par des flûtes à bec alto), suivi par un passage à quatre voix, chantant une variation en close harmony, puis par la reprise de la partie avec ostinato et un couplet final qui exploite la mélodie sous forme de canon. Les petites surprises que comporte cet arrangement sont un moyen de faire (re)découvrir cette chanson traditionnelle : à chaque couplet, on faisait entrer dans la ronde un enfant. Cette oeuvre a obtenu le 3ème prix au Concours d'harmonisation (catégorie "Harmonisation de chanson a cappella pour voix égales") organisé par le mouvement A Coeur Joie en partenariat avec le ministère de la Culture et de la Communication en 2003.