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Les spécialistes du chant choral
Le millénaire de Guy d'Arezzo

Le millénaire de Guy d'Arezzo

(Code: A110805082)

L’hymne de Paul Diacre (8ème s.) et la solmisation attribuée à Guyd’Arezzo, une composition de Georges ALLARD (né en 1929).Georges Allard s’est livré à un périlleux exercice de contrepoint en prenant chaque verset musical comme thème d’une réalisationl’ensemble des réalisations utilisant toutes les ressources de ce langage qui, au temps de Guy d’Arezzo, en était encore à larecherche tout en esquissant les formes qui s’imposeront dans les siècles à venir : l’imitation, le canon, la fugue.L’oeuvre se présente donc comme une suite de 7 pièces, chaque pièce étant un contrepoint. Le premier contrepoint par exempleest un double canon rigoureux à la quinte : thème entre l’alto et la basse et la réponse à la quinte entre le soprano et le ténor.Dans le second, l’imitation est plus libre mais l’exposition est tout à fait scolastique (S, A5, T, B5), etc. Chaque réalisation estcourte, ne demandant pas un énorme travail d’autant que toutes les voix chantent. L’ensemble rend joliment hommage au découvreurde l’alphabet musical, invention qui eut une influence considérable sur l’évolution du langage musical. Ceux qui chanterontcette “suite” feront en même temps une belle entrée dans le langage contrapuntique dont la science est séduisante et conduità un plaisir musical à la fois sensible et intellectuel.

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L’hymne de Paul Diacre (8ème s.) et la solmisation attribuée à Guyd’Arezzo, une composition de Georges ALLARD (né en 1929).Georges Allard s’est livré à un périlleux exercice de contrepoint en prenant chaque verset musical comme thème d’une réalisationl’ensemble des réalisations utilisant toutes les ressources de ce langage qui, au temps de Guy d’Arezzo, en était encore à larecherche tout en esquissant les formes qui s’imposeront dans les siècles à venir : l’imitation, le canon, la fugue.L’oeuvre se présente donc comme une suite de 7 pièces, chaque pièce étant un contrepoint. Le premier contrepoint par exempleest un double canon rigoureux à la quinte : thème entre l’alto et la basse et la réponse à la quinte entre le soprano et le ténor.Dans le second, l’imitation est plus libre mais l’exposition est tout à fait scolastique (S, A5, T, B5), etc. Chaque réalisation estcourte, ne demandant pas un énorme travail d’autant que toutes les voix chantent. L’ensemble rend joliment hommage au découvreurde l’alphabet musical, invention qui eut une influence considérable sur l’évolution du langage musical. Ceux qui chanterontcette “suite” feront en même temps une belle entrée dans le langage contrapuntique dont la science est séduisante et conduità un plaisir musical à la fois sensible et intellectuel.