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Les spécialistes du chant choral
La pernette

La pernette

(Code: A110502017)

L’amour plus fort que la mort. Bien avant la dramatique légende de “Roméo et Juliette”(1530), célèbre à jamais grâce à Shakespeare puis, en musique, grâce notamment à Bellini, Berlioz, Gounod et Prokofiev, la sensibilité populaire avait déjà imaginé le thème des amants préférant mourir ensemble plutôt que d’être séparés. Cette chanson, en effet, remonte au moins au XIIè siècle. Plus tard elle a été traitée par Dufay (XVè siècle) et d’autres grands polyphonistes tels qu’ Ockeghem et Josquin des Prés. Son thème, sous différentes variantes, se retrouve dans bien d’autres chansons populaires fameuses, telles que, par exemple, “Le Roi Renaud”, “Pierre de Grenoble”, “La belle se sied au pied de la tour” (cette dernière ayant été harmonisée par Francis Poulenc), sans parler de son dernier médiocre avatar : “Ne pleure pas Jeannette”. En raison du grand nombre de ses couplets, qu’il importe de conserver sans en retrancher un seul, l’harmonisateur a choisi de recourir à plusieurs reprises au procédé du dialogue entre les voix de femmes et les voix d’hommes à 2 ou 3 voix égales, voire à quelques couplets à l’unisson ou simplement soutenus par un bourdon (instrumental ou bouches fermées). Les fréquents changements de tonalité visent par ailleurs à surprendre hardiment l’oreille afin d’éviter toute monotonie dans la progression de cette longue complainte.

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L’amour plus fort que la mort. Bien avant la dramatique légende de “Roméo et Juliette”(1530), célèbre à jamais grâce à Shakespeare puis, en musique, grâce notamment à Bellini, Berlioz, Gounod et Prokofiev, la sensibilité populaire avait déjà imaginé le thème des amants préférant mourir ensemble plutôt que d’être séparés. Cette chanson, en effet, remonte au moins au XIIè siècle. Plus tard elle a été traitée par Dufay (XVè siècle) et d’autres grands polyphonistes tels qu’ Ockeghem et Josquin des Prés. Son thème, sous différentes variantes, se retrouve dans bien d’autres chansons populaires fameuses, telles que, par exemple, “Le Roi Renaud”, “Pierre de Grenoble”, “La belle se sied au pied de la tour” (cette dernière ayant été harmonisée par Francis Poulenc), sans parler de son dernier médiocre avatar : “Ne pleure pas Jeannette”. En raison du grand nombre de ses couplets, qu’il importe de conserver sans en retrancher un seul, l’harmonisateur a choisi de recourir à plusieurs reprises au procédé du dialogue entre les voix de femmes et les voix d’hommes à 2 ou 3 voix égales, voire à quelques couplets à l’unisson ou simplement soutenus par un bourdon (instrumental ou bouches fermées). Les fréquents changements de tonalité visent par ailleurs à surprendre hardiment l’oreille afin d’éviter toute monotonie dans la progression de cette longue complainte.