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Les spécialistes du chant choral
Deux villanelles

Deux villanelles

(Code: A110906087)

Deux villanelles de Luca Marenzio, restitution par Jacques Barbier

Les deux villanelles réunies ici présentent deux facettes opposées de la musique de divertissement, un contrepoint au sérieux madrigal, privilégiant un plaisir musical facile et extraverti.

Lasso non e cor mio est dans sa théâtralité pseudo-tragique l'occasion magnifique de déguster, de savourer la langue italienne en prenant le temps de jouer avec sa finesse et la subtilité de la musique.

Dolce vaga pastorella est extrait d'un deuxième livre de "Villanelles à la napolitaine", à trois voix également, attribué à Luca Marenzio, mais dont les pièces ont été recueillies par Attilio Gualtieri. Ce dernier ne serait-il pas l'auteur parfois de quelques unes de ces mélodies simples et enjouées à l'instar de cet air de fête ? Les quintes parallèles provocatrices des mesures 11 et sans interruption de la mesure 14 à la fin entre Canto et Bassus (à chanter de manière parodique, nasillarde), inconnues dans les autres œuvres du maître du madrigal, le laisseraient penser…

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Sommaire / Contents :

- Lasso non e cor mio
- Dolce vaga pastorella

Luca MARENZIO
Durée / Duration : 2'00''


Deux villanelles de Luca Marenzio, restitution par Jacques Barbier

Les deux villanelles réunies ici présentent deux facettes opposées de la musique de divertissement, un contrepoint au sérieux madrigal, privilégiant un plaisir musical facile et extraverti.

Lasso non e cor mio est dans sa théâtralité pseudo-tragique l'occasion magnifique de déguster, de savourer la langue italienne en prenant le temps de jouer avec sa finesse et la subtilité de la musique.

Dolce vaga pastorella est extrait d'un deuxième livre de "Villanelles à la napolitaine", à trois voix également, attribué à Luca Marenzio, mais dont les pièces ont été recueillies par Attilio Gualtieri. Ce dernier ne serait-il pas l'auteur parfois de quelques unes de ces mélodies simples et enjouées à l'instar de cet air de fête ? Les quintes parallèles provocatrices des mesures 11 et sans interruption de la mesure 14 à la fin entre Canto et Bassus (à chanter de manière parodique, nasillarde), inconnues dans les autres œuvres du maître du madrigal, le laisseraient penser…