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De profundis- Violon 2

De profundis- Violon 2

(Code: A121900486)

Pour choeur à 5 et 6 voix mixtes, solistes, flûte, hautbois, cordes et basse continue.Restitution et réalisation de la basse continue par Didier GODEL. Ce De profundis est le motet le plus connu de Michel-Richard Delalande. Sur le texte du Psaume 129 (ou 130 selon la nouvelle numérotation) auquel s’ajoute le “Requiem aeternam”, cette composition a été écrite en 1689 pour solistes (2 sopranes, haute-contre, ténor et baryton), choeur à 5 ou 6 parties, flûte, hautbois,cordes (2 parties de violons, 2 parties d’alto) et basse continue (dont violoncelle, contrebasse, basson et orgue). Il est célèbre pour la grandeur homophonique de son début mystique et pour le contrepoint intense et audacieux de son Requiem aeternam conclusif (sans précédent dans la musique française). L'édition complète de cette œuvre splendide de la littérature chorale a été restituée par Didier Godel d’après le “Manuscrit Cauvin” (1741) qui présente une version instrumentale complète de ce motet. Ce manuscrit reprend l’édition gravée de Boyvin (entièrement chiffrée), établie en 1729 sous la direction de Colin de Blamont. Ces deux documents se réfèrent à la même source autographe de Delalande, manuscrit réalisé par l’atelier de Philidor l’Aîné (daté de 1689).
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De Profundis (psaume 129), motet à grand choeur à 5 et 6 voix mixtes, solistes, flûte, hautbois, cordes et basse continue de Michel-Richard Delalande:



Ce De profundis est le motet le plus connu de Michel-Richard Delalande.
Sur le texte du Psaume 129 (ou 130 selon la nouvelle numérotation) auquel s’ajoute le "Requiem aeternam”, cette composition a été écrite en 1689 pour solistes (2 sopranes, haute-contre, ténor et baryton), choeur à 5 ou 6 parties, flûte, hautbois,cordes (2 parties de violons, 2 parties d’alto) et basse continue (dont violoncelle, contrebasse, basson et orgue).
Il est célèbre pour la grandeur homophonique de son début mystique et pour le contrepoint intense et audacieux de son Requiem aeternam conclusif (sans précédent dans la musique française).
L'édition complète de cette œuvre splendide de la littérature chorale a été restituée par Didier Godel d’après le "Manuscrit Cauvin” (1741) qui présente une version instrumentale complète de ce motet.
Ce manuscrit reprend l’édition gravée de Boyvin (entièrement chiffrée), établie en 1729 sous la direction de Colin de Blamont. Ces deux documents se réfèrent à la même source autographe de Delalande, manuscrit réalisé par l’atelier de Philidor l’Aîné (daté de 1689).

Restitution et réalisation de la basse continue par Didier GODEL.