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Les spécialistes du chant choral
Ave maris stella - Sciau

Ave maris stella - Sciau

(Code: A110805041)

Composition sur l’hymne mariale chantée à l’Assomption ou aux vêpres des fêtes de la Vierge Marie. Ce motet a été écrit pour Monsieur Maurice Duret, directeur des Petits Chanteurs du Forez. Le langage est principalement modal ; l’harmonie procède souvent par un changement de couleurs qui intervient pour souligner un mot du texte. Tous les versets, sauf le dernier, sont traités de la même manière : l’incipit monodique rappelle le chant grégo-rien, puis les autres voix, deux, trois ou quatre suivant l’effet de couleur désiré, viennent se greffer sur sa dernière note. Le dernier verset est traité en un seul bloc avec prédominance d’intervalles consonants (octaves, quartes et quintes), symbole de la Toute-puissance divine. Enfin le motet se termine en mode de ré (premier mode) sur do en une seule vocalise évanescente. Attention à ne pas s’effrayer par le nombre d’accidents : ce motet est plus facile qu’il n’y paraît à première “vue”...Jean-Pierre SCIAU est né en 1965 à Saint-Etienne. Après une médaille d’or en orgue, harmonie et contrepoint au Conservatoire de Saint-Etienne, il entre dans la classe de Marie-Claire Alain, à Rueil-Malmaison, où il obtient un Premier prix d’orgue. Parallèlement, admis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il obtient un premier prix d’harmonie. Il partage actuellement son temps entre l’enseignement comme professeur d’orgue et d’écriture à l’Ecole Maîtrisienne de la Loire et chargé de cours à l’Université de Saint-Etienne pour l’orgue et la composition.

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Composition sur l’hymne mariale chantée à l’Assomption ou aux vêpres des fêtes de la Vierge Marie. Ce motet a été écrit pour Monsieur Maurice Duret, directeur des Petits Chanteurs du Forez. Le langage est principalement modal ; l’harmonie procède souvent par un changement de couleurs qui intervient pour souligner un mot du texte. Tous les versets, sauf le dernier, sont traités de la même manière : l’incipit monodique rappelle le chant grégo-rien, puis les autres voix, deux, trois ou quatre suivant l’effet de couleur désiré, viennent se greffer sur sa dernière note. Le dernier verset est traité en un seul bloc avec prédominance d’intervalles consonants (octaves, quartes et quintes), symbole de la Toute-puissance divine. Enfin le motet se termine en mode de ré (premier mode) sur do en une seule vocalise évanescente. Attention à ne pas s’effrayer par le nombre d’accidents : ce motet est plus facile qu’il n’y paraît à première “vue”...Jean-Pierre SCIAU est né en 1965 à Saint-Etienne. Après une médaille d’or en orgue, harmonie et contrepoint au Conservatoire de Saint-Etienne, il entre dans la classe de Marie-Claire Alain, à Rueil-Malmaison, où il obtient un Premier prix d’orgue. Parallèlement, admis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il obtient un premier prix d’harmonie. Il partage actuellement son temps entre l’enseignement comme professeur d’orgue et d’écriture à l’Ecole Maîtrisienne de la Loire et chargé de cours à l’Université de Saint-Etienne pour l’orgue et la composition.