Chacun connaît, tant en France que dans bien d’autres pays cette chanson d’enfance.L’air serait celui d’une contre-danse de la fin du XVIIIe siècle (faussement attribué à Lully). Les paroles sont faciles avec, comme dans beaucoup de textes de chansons populaires, quelques doubles-sens discrets ('battre le briquet' signifiait également pour les initiés 'faire l'amour') et des couplets très rarement chantés. Le temps aurait également déformé les paroles pour transformer « Prête-moi ta lume » en «Prête-moi ta plume », « lume » signifiant lumière.